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C'est l'histoire de Nathalie. Elle a 32 ans, elle vit dans une grande métropole. Nathalie est arrivée en France à 18 ans pour ses études, et ayant trouvé du travail sur place, n'est pas repartie.  Nathalie s'est mariée à son chéri il y a cinq ans et pour l'instant Dieu merci, tout va bien dans le couple. Tout va bien...enfin, c'est ce que leurs familles et leurs amis pensent. C'est aussi ce que Nathalie fait paraitre au travail, sur les réseaux sociaux. Nathalie et son mari travaillent tous les deux, vont parfois en vacances, bref, leur vie semble pas parfaite, mais plutôt agréable. 
 
Ce que personne ne sait, c'est que quinze jours sur trente, Nathalie souffre de douleurs incroyables. Parfois Nathalie a du mal à se lever. Parfois, Nathalie a du mal à mettre un pied devant l'autre. Plusieurs fois par mois, quand elle peut, elle reste chez elle, les douleurs étant carrément paralysantes. Nathalie est suivie par un gynécologue. Son mari et elle voudraient avoir un enfant. Son gynécologue est optimiste, mais prudent. Nathalie souffre d'endométriose, et il ne voudrait pas lui donner de faux espoirs. Ces douleurs avec lesquelles Nathalie vit, elle a toujours pensé que c'était normal, surtout qu'autour d'elle, plusieurs femmes semblaient souffrir dans leur féminin, chaque mois. Fibromes, douleurs de règles, etc. Nathalie a fait ses recherches. Aux États-Unis, une étude de 2012 de Harris Interactive publiée sur le site Web des National Institutes of Health (NIH) a conclu:
 
« Plusieurs sources de données suggèrent que les fibromes utérins ont un effet disproportionné sur les femmes afro-américaines. Les femmes afro-américaines ont un risque cumulé de fibromes utérins plus élevé, une incidence trois fois plus grande et un risque relatif de fibromes et un âge d'apparition plus précoce… En outre, les femmes afro-américaines ont 2,4 fois plus de risques de subir une hystérectomie. Au moment de l'hystérectomie, les femmes afro-américaines ont un poids utérin plus élevé, plus de fibromes, une probabilité plus élevée d'anémie préopératoire et de douleurs pelviennes plus graves. »

 
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Le long de notre vie de femme, nous avons eu l’habitude de nous occuper de notre visage (crèmes, soins, maquillage…) de nos mains, de notre corps quand on s’offre un massage, de nos pieds, de nos ongles, de nos cheveux, de notre peau…

A quel moment nous occupons - nous de nos parties intimes, de notre féminité, de notre temple intérieur, de notre ventre?

L’utérus est LE CENTRE ENERGETIQUE de la femme.

C’est un « Chaudron magique », un lieu de créativité fertile et infini. C’est LA que réside la PUISSANCE d’une femme. PUISSANCE FEMININE. Un lieu de transformation, transmutation, de création. Notre utérus sert à enfanter et donner naissance à d'autres êtres humains, mais pas uniquement. 
 

 
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Personnellement, j'ai eu de la chance de ne pas souffrir de règles douloureuses. En revanche, j'ai entendu parler de fibromes ou plutôt j'y ai fait attention la première fois, que je suis tombée enceinte de mon premier enfant. Le médecin m'avait annoncé que j'avais un fibrome de la taille du fœtus, et que les deux grandiraient de manière égale et qu'on espérait que le fibrome n'écrase pas le fœtus. Première grossesse, la panique, les questions. Le docteur, d'origine haïtienne, me glissa également que les femmes noires étaient plus touchées par cela que les femmes blanches. J’ai demandé à époque pourquoi, sans obtenir de réponse claire. Cette question m’a hanté jusqu’à ce que j’accouche de mes deux enfants en bonne santé. Sans être une obsession, je me demandais souvent pourquoi ? Pourquoi plus les femmes noires. Quand j’en ai parlé à ma mère la première fois, elle m’a confirmé que oui, la plupart des femmes de ma famille souffraient de fibromes et que celles qui n’avaient pas eu d’enfants ou qui avaient eu des difficultés en avoir souffert effectivement de fibromes. Une de mes tantes avait mes rajouté que c’était tellement courant que certaines accouchaient de fibromes en même temps que d’enfants. A l’époque, cet état des choses m’avait choqué et plus que cela, la résignation qu’il y avait derrière. A la naissance de mes deux enfants, la question s’est éloignée de moi.
 
Dix ans et quelques aventures plus tard, avec la découverte de mes capacités de guérison, je retrouve de nouveau la question au centre du travail que j’effectue avec les femmes de ma tribu. Dès le début, viennent à moi des femmes qui ont mal à leur féminin. Des enfants qui tardent à venir, des douleurs d’endométriose. Petit à petit, je me rends compte qu’il y a quelque chose à creuser à ce niveau. Avec toutes, nous sommes emmenées à travailler leur histoire, à nettoyer leur corps des traumatismes qu’elles ont vécu, que leur lignée maternelle a vécu.
C’est à ce moment que je découvre le pouvoir de notre utérus, à nous les femmes. Le pouvoir de l’utérus est celui de la création. C’est l’organe même de notre créativité. De là, naissent d’autres vies humaines, des idées et des intuitions. Malheureusement, nos utérus portent également en eux les traumatismes générationnels, les peurs et les schémas qui se transmettent de mères en filles.

 
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Cette série de méditations est faite pour celles d’entre nous qui souffrent dans leur féminin. Pour celles qui semblent en pleine forme, toujours souriantes mais qui à l’intérieur vivent une souffrance insidieuse mais criante, due à leur problèmes utérins (des difficultés à concevoir, fibromes, endométriose, vaginisme, règles douloureuses).


Ces méditations vont vous accompagner dans l’exploration de l'appareil génital féminin, non pas au niveau scientifique mais au niveau émotionnel; 
Nous allons  aller chercher puis libérer les douleurs émotionnelles, les conflits et peurs générationnelles qui se matérialisent dans le corps et qui créent ce manque d’harmonie dans nos centres énergétiques. En effet, dans nos organes féminins réside l'histoire de notre lignée maternelle. Nos utérus étant formés dans ceux de nos mères, nous portons en nous l'ADN de nos mamans, de nos grands-mères, de nos aieules. Nous portons en nous leurs forces et leurs batailles, leur foi, leurs espoirs, leurs peurs et leurs croyances. 

Guérir de son féminin signifie faire face à son histoire, à l'histoire de sa lignée féminine, et reconnaitre l'apport de nos aieules dans notre vie actuelle. Les peurs, les hésitations, les doutes, les traumatismes et les schémas très souvent inconscients, nous les avons souvent hérités des femmes de nos vies, en même temps que leur courage, leur foi terrible en la vie et leur résilience.

Mon rôle lors de ces ateliers est de vous aider à mettre le doigt sur ces mémoires émotionnelles emmagasinées à hauteur des hanches, bassin, et ventre. Ces ateliers vont faire remonter les schémas inconscients et vous permettre guérir à votre rythme, physiquement et émotionnellement, de prendre des décisions conscientes et informées sur votre sexualité, sensualité et créativité.